L’avocat Matthieu Croizet, qui défend l’un d’entre eux, l’homme d’affaires français Jean-François Ott, a une idée sur la question : "C’est peut-être parce que l’argent déposé dans cette société n’avait pas d’existence légale dans le pays des personnes qui l’avaient donné en gestion ? s'interroge-t-il. Si vous déposez de l’argent qui n’est pas déclaré dans une boîte de gestion et que d’un coup vous le perdez, vous ne pouvez pas vous plaindre parce que cet argent n’existe pas !"
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